Nomade, connecté, l’environnement professionnel a énormément évolué ces dernières années, pour ne pas dire explosé. Nous vivons de grandes évolutions qui seront inéluctablement teintées de tensions et de crises. Tout est et sera une succession de crises petites, moyennes ou grandes.
Plus qu’avant, sous de nouvelles formes et de façon accélérée. L’intrication professionnelle et personnelle est encore plus réelle aujourd’hui. Le numérique, en nous permettant d’être joignable à n’importe quel endroit et à n’importe quel moment, en nous permettant d’accéder aux données à distance, a effacé les frontières entre la vie personnelle et professionnelle. Sous l’effet de la diffusion des outils numériques, de nouvelles pratiques de travail individuelles émergent et, avec elles, de nouvelles sources de tension.
Dématérialisation et individualisation des tâches, accroissement du travail mobile, aspiration ou injonction à l’autonomie, porosité des temps de vie professionnelle et personnelle, extension de l’entreprise, émergence de nouveaux lieux de travail, plus récemment la crise sanitaire, la crise environnementale…
Ces nouvelles formes de pratiques font évoluer les organisations du travail, les modalités de dialogue et de nouvelles relations de travail, les collectifs productifs atypiques modifiant les codes et les process. Le travail d’équipe ne s’opère plus de la même façon : agilité, réseaux, multisites, collaborations internes-externes… Les règles qui régissaient les organisations de travail traditionnelles se font déborder par des pratiques de travail qui s’en affranchissent. Ces pratiques mettent en tension les grands repères normatifs de l’organisation issus de l’ère industrielle (temps/lieu/subordination), en même temps qu’elles dessinent les nouvelles frontières du travail et font émerger la nécessité d’une nouvelle forme de dialogue dans les entreprises.
Ces évolutions radicales mettent en tension les grands repères normatifs sur lesquels nous nous appuyions jusqu’ici. Elles apportent de grandes évolutions positives, mais aussi, dans le bouleversement rapide qu’elles opèrent, de la souffrance au travail. Les conflits, les affrontements aujourd’hui prennent des formes nouvelles et que l’on constate une fois que la situation est déjà très dégradée. Les crises sanitaires et environnementales nous demandent une agilité exceptionnelle, une réelle capacité de résilience et d’adaptation à un environnement mouvant.
Nous devons en être conscients, prendre la mesure de ces mutations, pour prévenir et, à défaut, résoudre les nouveaux défis qui s’imposent à nous.
Les leaders et leurs équipes doivent renforcer leur soft skills pour gérer ces situations difficiles. Chez Capital Homme, nous avons créé des parcours accélérés d’acquisition de ces nouvelles compétences (résilience, intelligence émotionnelle, résolution de problèmes complexes, créativité, assertivité, gestion du stress, gestion du temps, gestion des conflits et des crises).
Ces parcours de formation et coaching sont renforcés par des bilans émotionnels et cognitifs, conçus et distribués par Open Mind Neurotechnologies qui permettent aux personnes de trouver rapidement les leviers d’appui et de ressources nécessaires à la traversée des crises.